Quel est le point commun entre Ulysse, Orion et Sony Ericsson ?
Sony Ericsson… une belle histoire nous lie. Non, je n’évoque pas le très bon souvenir du voyage à Barcelone, mais bien mon premier véritable “portable multimédia”. Qu’il était laid ! Mais je l’aimais, je l’ai gardé jusqu’à sa destruction complète. D’ailleurs, je crois qu’avec deux ou trois bout de scotch il marcherait encore… De cette histoire de jeunesse est née une confiance inconsciente dans les produits mobiles Sony Ericsson. Jusqu’au X10.
Et oui, SE n’a pas eu un parcours parfait, loin de là. Le X10, sorti lors de la “vague Nexus One”, au côté du HTC Desire, est passé plutôt inaperçu. Même s’il était au niveau de ses confrères, il pêchait par toute sorte de problèmes software, de bugs et autres gênes pour l’utilisateur qui n’ont à ce jour, pas été réellement résolus. En témoignent vos messages incessants sur nos forums… et la perte de confiance en Sony Ericsson d’un bon nombre d’entre vous.
Théorème : moins il y a d’humain souriant bêtement sur une boite SE, mieux est le smartphone
Mais SE avait aussi su faire un X10mini très convaincant pour de l’entrée de gamme. Avec cette nouvelle génération (Arc, Neo, Play), le constructeur espère réellement prendre une place de choix dans le milieu très sélect’ du haut de gamme et faire oublier l’épisode X10. Fleuron de la gamme, le X12 alias Xperia Arc, est un pari de taille pour SE. Pari gagné ?
Des lignes et des courbes…
SE vous avait prévenu via ses nombreux spots Youtube et sa communication de manière générale : il y a eu de la recherche au niveau du design depuis le premier X10 qui était, il est vrai, assez imposant et pas vraiment esthétique. On ne peut que saluer l’effort : le smartphone a, pour une fois, un design tout à fait soigné. Si le look est une de vos priorités, il ne vous laissera pas indifférent, mélangeant avec brio high tech et design moderne.
La fameuse courbe. Je me demande comment ils font entrer autant de composants dans un si petit espace. “It’s science bitch, it works”.
On pourrait penser que sa courbe inversée le rend assez peu ergonomique, mais c’est un a priori infondé. Il tient très bien en main, quelle que soit la main d’ailleurs, et après tout, sa courbe ne se ressent pas tant que ça au toucher. Dans la poche, même remarque : le smartphone est imposant, mais il est intégralement en plastique, ce qui le rend incroyablement léger.
Je ne pourrais pas répéter à ceux qui n’aiment pas les grands écrans ce que j’avais dit à propos de l’Incredible S : ici, on sent clairement la différence avec un 3,7 pouces. Pour cause, l’écran fait 4,2 pouces et il y a un bon centimètre entre le haut de l’écran et l’extrémité du smartphone. Posé sur un Nexus One, l’Xperia Arc dépasse clairement. Moi, ça ne me dérange pas, ce que l’on perd en petitesse, on le gagne en confort (that’s what she said etc.).
Vous voyez le serpent ? C’est un SIGNE !
J’ai eu l’occasion de faire tomber l’Arc une fois, de la même manière que le Nexus S qui plus est, qui était ressorti de sa chute de table de nuit avec une encoche dans ses belles lignes plastifiées. Ici, évidemment beaucoup de facteurs sont à prendre en compte, mais l’enrobage n’a pas bronché, rien à signaler. Je pense quand même que le choix du tout plastique, même s’il diminue considérablement le poids, diminue aussi de beaucoup la résistance du smartphone. Mais d’un autre côté, ce serait bête d’avoir un si beau smartphone pour le cacher dans une coque. Je pense qu’une housse est un bon compromis pour lui éviter des dégâts involontaires.
La connectique est bien ajustée au design, comprendre qu’elle est suffisamment bien intégrée aux lignes pour ne pas gâcher pas le tableau. Et en termes de connectique, vous le savez déjà, mais l’Xperia Arc fait fort : jack-in, micro-USB et mini-HDMI sont de la partie, tous les trois sur la partie haute du smartphone.
Un bouton dédié à l’appareil photo, “comme un vrai”. Pratique, cela manque sur pas mal de smartphone.
Comme je l’ai tweeté il y a quelques jours, le mini-HDMI vous permet de reproduire ce qu’il se passe à l’écran de votre smartphone sur votre écran ou votre téléviseur. C’est réellement bluffant et ça marche super bien. Par défaut, l’Arc ouvrira l’application Galerie, mais vous pourrez vous amuser avec l’intégralité de votre smartphone. Détail intéressant : le HDMI est in/out, c’est-à-dire que vous pourrez contrôler votre Arc via la télécommande de votre télé. Pratique pour montrer vos clichés ou piloter la lecture d’un film. Oh, et le câble mini-HDMI/HDMI est fourni : une dépense en moins !
Mais alors quelle qualité pour cet écran ? Comme vous avez pu le lire un peu partout, les équipes qui s’occupent du système Bravia des téléviseurs Sony ont adapté leur technologie à l’univers smartphone. Résultat, cet écran “Reality Display”. Ce qui est assez bluffant esthétiquement, c’est qu’une fois le téléphone éteint, les limites de l’écran se fondent avec le plastique. Impossible de les discerner sans s’approcher : preuve s’il en est que le look du téléphone a été au coeur de la réflexion.
J’ai dû baisser la luminosité pour prendre mes photos, mon appareil saignait des yeux bioniques.
Allumé, j’aime beaucoup. C’est une question de goût, évidemment, certains préfèrent les couleurs un peu plus prononcées des Amoled, d’autres trouveront qu’un juste milieu se trouve dans le s-LCD. A luminosité moyenne, l’écran est d’un rare confort visuel, les yeux ne se fatiguent pas et les couleurs ne sont pas fades. Les noirs restent noirs à luminosité maximale.
Je note quand même quelque chose de gênant : plusieurs fois, l’écran s’est mis à scintiller, comme si le capteur de luminosité cherchait à s’adapter à l’environnement, mais que, indécis ou Normand, il ne savait pas trop quel niveau afficher. C’est particulièrement visible quand l’écran est à dominante blanche, comme sur la plupart des sites web. Régler manuellement la luminosité annule ce défaut, c’est pourquoi je pense à un problème software, qui, je l’espère, sera vite corrigé.
Vous avez déjà utilisé des intras pour passer un coup de sans fil ? On dirait que la personne qui vous parle s’adresse à vous depuis votre cerveau. A tenter sous acide.
Pour ce qui est du son, Sony vous offre des intras, pas exceptionnels certes, mais parfaitement utilisables pour une écoute dans les transports en commun.
Petit passage sur la batterie : je n’ai jamais été inquiété et c’est bon signe. Lors d’une grosse journée d’utilisation, il me restait une quinzaine de % le soir, ce qui laisse augurer du meilleur si vous ne l’utilisez pas trop pour préserver son essence vitale. Encore une fois, cela reste subjectif, mais le lecteur qui nous avait promis un test objectif ne s’est toujours pas manifesté !
Enfin, le moment que vous attendez tous : LA DIODE ! Qu’en est-il ? Et bien, c’est “chelou” comme on dit. Il y a bien une diode, sur le côté droit de l’appareil. Mais, elle ne clignote que quelques secondes et est quasiment invisible. Je veux dire, il a fallu qu’elle se reflète sur un objet pour que je m’en aperçoive. Du coup, j’ai pris l’habitude de tourner le smartphone du bon côté, mais son temps de clignotement reste un problème. Gageons qu’un développeur est déjà sur le coup et qu’il va nous laisser régler ça comme on veut…
Android, où es-tu ?
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=MixLR48smfM[/youtube]
Petite présentation maladroite de l’interface. Je vais acheter un pied, promis.
Comme je vous le disais il y a fort longtemps à propos du X10Mini, l’expérience Android Sony Ericsson n’est pas une expérience traditionnelle, à tel point qu’on se demande parfois ce qu’il reste d’Android. Les premières versions de la surcouche SE n’étaient pas forcément optimisées. Cette génération change la donne, Sense n’a qu’à bien se tenir.
C’est vrai, le principal reproche que l’on a pu faire aux concurrents de HTC dans le monde de la surcouche, c’est que toutes ces interfaces étaient lentes et poussives. Même si leurs fonctions pouvaient être des plus, les utilisateurs avaient tôt fait de s’en débarrasser pour installer un launcher alternatif type Launcher Pro ou ADWex. Sense, au contraire, a toujours été fluide, qu’on aime son côté brouillon ou pas.
Timescape nouvelle version. Je me demande ce que faisais mon doigt à cet endroit de la photo.
Le petit Sony Ericsson a bien fait ses devoirs et mérite un su-sucre : l’univers Timescape est très, TRES fluide. Bien plus fluide que l’interface LG tournant sur un double coeur, par exemple, mais ne leur jetons pas la pierre : l’Optimus 2X reste très rapide – sous Launcher Pro. Bien plus fluide aussi que Touchwiz (bouclier anti-fanboys de Samsung activé), qui, sur les Galaxy S 2 que j’ai pu tester dans les salons et autres présentations, peinait toujours à donner cette sensation de confort de l’OS qui réagit au doigt et à l’oeil.
Bref, globalement, c’est gagné. Après, il faut aimer. J’avais aimé le X10 Mini, j’adore le X12. C’est bien simple, l’expérience utilisateur étant complètement différente, j’ai l’impression de redécouvrir Android. Le changement aurait pu être néfaste, mais au contraire, presque tout est mieux.
Déjà, pour les geeks qui ont bavé sur Minority Report, sachez que SE a soigné les transitions : tout est rapide ET tout est élégant. Les menus n’apparaissent jamais en “pop up” mais toujours accompagnés d’un petit effet gracieux. La même chose dans les listes : vos SMS, vos tweets, vos status Facebook, tout va et vient avec style. C’est très plaisant à utiliser puisque l’ensemble est maîtrisé, technique et esthétique.
A droite, l’ascenseur alphabétique. Je me demande quelle tête ça a au Japon ou dans les pays arabophones.
Ensuite, ce sont des détails, mais des détails qui comptent, SE ayant soigneusement cherché ce qui n’allait pas sur Android pour n’en garder que les points forts. Prenez les contacts par exemple : à droite, vous aurez un ascenseur pour un accès direct à vos contacts via un ordre alphabétique. De même, petite fioritures, les derniers statuts de vos contacts seront affichés directement dans la liste. Pratique.
Le widget/application Timescape a lui aussi été amélioré. Propre, beau et pratique, voilà trois mots pour le résumer. Cette application sera votre principal agrégateur d’activités online : Twitter, Facebook, SMS, appels… Configurable à loisir, vous pourrez choisir d’afficher les flux que vous voulez, lui s’occupera de les centraliser sous la forme d’un carrousel. On regrette que l’image associée à vos contacts soit d’une qualité si pauvre, cela fait tache sur l’ensemble.
Ni ma soeur ni mon ami Axel ne sont des bouillies de pixels dans la vraie vie, merci de vous en inquiéter.
La galerie est un exemple du bon sens de SE : vous retrouverez la galerie Android native, qui est déjà très bien fichue et très belle. C’est un détail, mais on sent qu’il y a eu une réflexion sur ce qui était bon et ce qui ne l’était pas. Dans le même ordre d’idée, le player audio ne transcende pas les codes du genre. J’ai essayé avec plusieurs genre de musique, cela n’est pas désagréable à l’écoute, des equalizers vous permettant de régler les niveaux selon vos préférences. Pas de réglage manuel possible, que des pré-sets vraiment dommage.
Exception qui confirme la règle : je ne sais pas trop ce qu’avaient pris ce jour là la R&D chez SE, mais ils ont considéré que le calendrier Google de base était suffisant avec son widget ridicule et moche n’affichant qu’UN événement. L’application n’a eu le droit qu’à un remodelage visuel. Mouais.
Google, s’il te plaît, pourrais-tu mettre à jour Agenda ? Tu sais, le braille n’a aucun intérêt en tactile. Banane.
Le lanceur d’application a lui aussi été revu. Fini la liste infinie et ingérable. SE a adopté un tri par tableaux que vous pourrez configurer comme bon vous semble : libre, alphabétique, par date d’ajout… bref, vous avez le choix. Et c’est quelque chose que je salue toujours sur Android : laisser le choix.
Les widgets de contrôles au look SE. Le dernier des 6 est très bien trouvé : accès direct aux paramètres réseau.
Enfin, relevons simplement les applications maintenant traditionnelles : radio, calculatrice, serveur multimédia, partage de connexion. Tout est intégré et simplifié par rapport à un Android nu, vous n’aurez donc aucun mal à utiliser ces applications comme des grands. Pour ceux qui seraient nés du dernier Gingerbread, Sony Ericsson a prévu quelques applications d’assistance et d’aide au démarrage. Vous ne serez pas abandonnés.
Un parfait androphone hors des sentiers battus ?
Oui et non, parce qu’il reste quand même quelques défauts. Oh, je vous vois venir, vous allez dire que je vais encore faire mon relou à relever 3 pauvres détails sans importance. C’est un peu vrai, mais je préviens d’emblée : pour une fois, ces détails ne gâchent en rien mon avis global que j’ai tenté de retranscrire au travers de ce test.
D’abord, notons l’absence de lecteur vidéo. On peut bien les lire à partir de la galerie, mais c’est léger. C’est devenu la norme chez la concurrence, SE n’en propose pas, ce n’est pas bien, surtout pour un portable de ce genre clairement orienté multimédia. J’ai donc installé Rockplayer et Summer Player pour faire mes tests, deux lecteurs assez réputés. Si les deux n’ont aucun problème avec un .avi, le décodage d’un .mkv 720p est laborieux. Summer Player s’en sort mieux mais ne semble pas lire les .srt, fichiers sous-titre. Rockplayer les lit, mais la version gratuite vous impose un gros logo “R”. Du coup, on aurait préféré un lecteur natif performant pour avoir à passer l’étape “chercher le lecteur multimédia idéal”.
Je me suis rendu compte après que cette photo n’avait aucun intérêt puisque vous ne pourrez pas voir qu’on est à 10 images/seconde.
Ensuite, je suis loin d’être un expert en photographie et vous pourrez donc me contredire dans les commentaires, mais des photos prises avec un appareil de 8mpx (6 en wide) qui font entre 500 et 700ko, je n’ai jamais vu ça. Tous les smartphones testés ces derniers mois prenaient des photos de plusieurs mo. Alors deux possibilités : soit les autres sont pas foutus de compresser leurs .jpg, soit SE les compresse beaucoup trop au détriment de la qualité.
Malheureusement, j’ai subjectivement l’impression que c’est cette dernière option qui correspond à la réalité. Regardez les clichés (originaux, comme à chaque fois dans cette partie du test), si la taille est grande, cela pixelise très vite. C’est d’autant plus dommage que la qualité globale (couleur/contraste) des photos est bonne et que l’Arc dispose d’un bouton dédié en deux temps – mise au point/shoot – , qui laissait présager du meilleur. Je vous laisse juger.
Un piaf en contre-jour, désolé je n’avais que ça à portée d’objectif
Plante trop verte, avec flash
Plante plus très verte, sans flash. Les couleurs sont assez fidèles.
Vous me direz si vous préférez la bière ou les fleurs pour l’exemple de macro.
Poésie urbaine. Hum.
Pour ce qui est de la capture vidéo, même remarque, il y a les bases (720p), mais ce n’est pas ça. D’abord, sur mes deux tentatives, l’enregistrement a sauté quand il devait s’adapter à une nouvelle luminosité. Ensuite, la qualité globale n’est pas bonne : une fois la mise au point faite, ça va, mais dès que l’éclairage change un peu, elle ne se fait pas en relative douceur comme sur un 2X, mais de façon brutale. Je vous laisse juger encore une fois, avec le 2X et le Desire S en comparaison. J’avais trouvé le premier excellent, le deuxième mauvais au niveau de la vidéo.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=pUNFV7gPRl4[/youtube]
Arc
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Zl6rFBO9Jqk[/youtube]
Optimus (je m’aperçois que la vieille bagnole grise n’a pas bougé…)
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=IkIuRj6wscI[/youtube]
Desire S
Après, toujours dans le multimédia mais petit retour sur l’audio, je n’ai pas pu lire mes FLAC Losseless. Je ne sais pas si la qualité du tout permettrait de toute façon de voir la différence, mais je sais qu’il y a des audiophiles mélomanes pointilleux dans le monde des geeks, alors je préfère préciser.
Enfin, deux applications intégrées qui me semblent complètement pourries : d’abord Touchnote Postcard, un service qui vous permettra d’envoyer au format carte postale un de vos clichés. Le premier est gratuit, la suite payante. Ecolo time : je vois vraiment pas l’intérêt de gâcher du papier et de l’encre pour envoyer une photo que vous auriez pu envoyer par mail. C’est bête d’en faire la promotion.
Envoie “mongolo” au 8 22 22 pour recevoir GRATUITEMENT après abonnement de 7€ la sonnerie de René la taupe en midi.
Ensuite, l’espèce de store Playnow est complètement démodé. Je veux dire, ce truc vous fait encore payer pour des “logos”, des fonds d’écrans moches ou des sonneries, à l’heure où chaque fichier JPG de votre collection peut finir en fond d’écran et que chaque fichier MP3 peut constituer une sonnerie. Je sais, tant qu’il y a des cons qui achèteront, ça fonctionnera, mais ça ne sert à rien de leur donner l’occasion d’acheter.
Conclure, parce que je m’aperçois que je suis à 2300 mots sans les légendes et que personne ne va lire tout ça : it’s a win ! Clairement, cet Xperia Arc est à ranger dans la catégorie “coup de coeur”. L’interface est tellement différente de tout ce qui se fait à l’heure actuelle qu’elle aura ses amoureux et ses détracteurs. Pourtant, le X12 a vraiment beaucoup d’arguments avec lui, du design aux performances en passant par les fonctionnalités améliorées ou ajoutées par Sony Ericsson.
Finalement, cela en fait un smartphone très simple à prendre en main pour le débutant et rafraîchissant pour le vétéran d’Android. Si vous avez envie de changer un peu d’air, n’hésitez pas. Surtout que, vous le savez maintenant, les Bootloaders des smartphones Sony Ericsson sont ouverts et on trouve même un guide sur leur site officiel pour les débloquer. Cela veut dire une chose : marre de l’interface et de la ROM officielle ? Okay, vous pouvez changer. Et ça, ça chers lecteurs, c’est l’esprit Android. Un grand constructeur l’a compris : je lui tire mon chapeau.
A lire : Les notes Android-France Pour Les Nuls
J’aime !
- Les lignes, le design, la connectique
- L’interface, la fluidité générale
- Les applications et widgets Sony Ericsson
- Le bootloader ouvert
- Les finitions globales apportées au produit
- Le câble HDMI fourni
Je n’aime pas.
- Mon nouveau système de notation
- Les épinards
- Scream 4
- Faire des cauchemars à base d’araignées.
Les caractéristiques complètes.
Je remercie une nouvelle fois Expansys de m’avoir prêté ce smartphone aussi vite que possible, sans aucune condition de rédaction. Vous retrouverez bien entendu cet excellent Xperia Arc sur leur boutique.
Galerie en vrac :